The last …

Une dernière bafouille entre l’apéritif et le plat principal. Je vais faire coup double pour avoir l’esprit libre demain et profiter pleinement de mon Noël en famille. Je vous souhaite un merveilleux réveillon, quelle que soit la façon dont vous le passez. Je ne vous dis pas à demain mais je vous embrasse bien fort 🥰

Du bruissement dans les bronches

Je vous racontais il y a trois jours comment le pardon s’était invité dans mon billet du jour. Ça arrive parfois qu’un sujet s’impose. J’accueille et je retranscris ce que cela m’inspire.

Le lendemain, c’est une autre sorte de sujet qui s’est imposée à moi. Un thème bien moins sympathique à accueillir. Un bon gros virus qui m’a mise totalement à plat hier. Impossible de sortir le moindre bout de mon corps de sous ma couette. J’étais vidée.

Ce matin ça va déjà mieux. Je suis toujours dans mon lit mais le taureau a été pris par les cornes. Je ne laisserai pas le crépitement qu’émettent joyeusement mes bronches s’installer trop longtemps. Ça va bien cinq minutes ces conneries !

Si je vous relate mes aléas médicaux c’est qu’hier, emmitouflée sous mes couches de couvertures, je pensais au billet de mon calendrier que je n’allais pas réussir à poster. Immédiatement, cette sale petite voix de crécelle qui aime me torturer est arrivée en trombe : t’es vraiment nulle, si tu t’étais organisée … TAIS-TOI (en réalité j’ai été moins polie) !

Il paraît que l’une des choses dont je puisse être certaine à propos de la vie, c’est son impermanence. Je me voyais sur les rails du succès, auto-proclamée reine de l’Avent. Hier j’ai failli descendre du train. La scène était tellement émouvante, un pied en dehors du wagon, ma volonté prête à lâcher la poignée sur fond de musique triste. C’est là, dans les toutes dernières secondes, que j’ai vu défiler les quinze premiers billets, les jolies couleurs, les citations qui vont bien, le travail acharné. Non, je ne pouvais pas abandonner. Oui, je devais continuer ! Bon j’exagère un peu. Mais vous voyez l’idée.

Voilà pourquoi vous aurez aujourd’hui ce billet pour les 16 et 17. De toutes façons il n’y a pas de règlement officiel des calendriers de l’Avent. Et je sais que je peux compter sur votre compréhension 💛

À demain devant la porte 18 pour d’autres impermanentes péripéties:-)

Encore une histoire de phobies …

Je suis à mi-chemin pour relever mon défi. Treizième jour de publication de mon Calendrier de l’Avent. Et trois billets qui parlent de phobies sans même que je ne m’en rende compte (oui il est question de peur aujourd’hui encore). S’il y a un psy caché parmi vous, qu’il éclaire ma lanterne car je commence à trouver ça étrange ! Mais revenons-en à ce calendrier …

Je ne vous cache pas que j’ai un peu ajusté les conditions que je m’étais fixées, notamment l’horaire de publication. Je pensais poster à 12:00 sans faute les 24 billets. Il est 16:47 et j’écris seulement ces lignes. Il doit y avoir moyen de s’organiser en écrivant à l’avance mais je n’y arrive pas. Après la coach en HPI et la coach en écriture, je ne vais quand même pas prendre une coach en organisation. Remarquez je me suis offert une aide pour tout ce qui est paperasse. Je dois avoir une phobie administrative ou un truc comme ça. Rien que de l’écrire j’ai une boule au ventre. Depuis que cette femme vient m’épauler dans la gestion de mon courrier et de mes papiers, je n’ai (presque) plus de relances ou de majorations pour impayés. Elle passe également les coups de fil pour réclamer ou s’excuser à ma place. Parce que je dois aussi avoir une phobie du téléphone. Et j’ai même pas honte ! C’est sûrement l’argent le mieux utilisé de mon budget, après le massage du visage par mon esthéticienne.

Bon c’est pas tout ça mais mon billet du quatorze ne va pas s’écrire tout seul. À défaut d’être organisée, je me suis promis d’être persévérante. Ça n’a l’air de rien ce petit défi mais ça représente beaucoup pour moi. Sur cette confidence je vous souhaite une bonne soirée et je vous dis à demain pour d’autres palpitantes aventures du Noël d’Amélie !

Let’s go !

Parce que je dois être un peu masochiste, j’ai décidé de remettre le couvert et de tenter à nouveau le challenge du calendrier de l’Avent que je m’étais lancé en 2021. L’année passée, j’avais presque tenu jusqu’au bout, j’ai juste manqué de souffle sur la fin et terminé avec un billet plein de mots grossiers. Un fiasco quoi … Cette fois-ci, j’ai été plus maligne, j’ai préparé mes postes en avance. Bon pas jusqu’au 24 je vous rassure, je me laisse quand même la possibilité de tout foirer. Et ce n’est pas comme si j’avais deux bouquins sur le feu, un atelier d’écriture à honorer et un site Internet pour ma future activité à remplir. Mais comme je le répète souvent : À cœur vaillant rien d’impossible ! Voici donc pour ce 1er décembre une pensée à celles et ceux touché.e.s de près ou de loin par le SIDA, avec cette même citation de Philippe Geluck que l’an passé. Je vous retrouve demain pour ouvrir le porte N°2 !

Mon Journal de Gratitude #16 : Celle qui faisait une réunion de chantier !

Nous sommes le 16 août et je rédige mon seizième Journal de Gratitude. Coïncidence ? Je ne crois pas … Enfin si un peu, j’étais partie pour rédiger un bilan de l’année écoulée et justement, la coïncidence était tentante. Je serai donc obligée de terminer ce billet positivement et emplie de gratitude (comme si ce n’était pas toujours le cas).

Aujourd’hui c’est mon anniversaire (non ce n’est pas pour qu’on me le souhaite mais bon si vous y tenez … :)) et comme je l’ai dit dans mon dernier billet, c’est le moment pour moi de faire le point sur l’avancée des travaux de ma vie. Parce que oui je prends la vie comme un chantier qu’il faut tenter de mener à bien ! J’essaye de m’outiller le mieux possible, d’apprendre les bonnes techniques et de bien consolider l’édifice. Mon souci : les fondations étaient déjà terminées quand je suis arrivée et je pense que les mecs n’étaient pas du métier. Ou alors ils avaient bu. Où ils ont fait exprès pour me lancer un défi. En tous cas c’était un beau bordel et il a fallu bosser dur pour réparer les dégâts. Malgré quelques malfaçons persistantes que j’ai finalement acceptées, je crois que j’y suis arrivée.

Et puis je me suis rendu compte que l’électricité n’était pas aux normes. Partout des câbles mais aucune prise. Comment allais-je pouvoir mettre à (re)charger mon téléphone mais aussi mes peurs, mes croyances et mes pensées limitantes auxquelles je tenais tant ? En panique, j’ai cherché un mode d’emploi, un plan, des directives. Je ne suis pas électricienne moi, je n’avais aucune idée de comment ça fonctionne. Et c’est au fond d’un tiroir que je suis tombé sur la solution :

C’est quoi cette connerie ? On n’allait pas encore me conseiller de lâcher prise ! Punaise je l’ai déjà tellement cherchée cette prise que j’avais fini par laisser tomber. Tu déprimes ? Lâche prise ! T’es nostalgique ? Lâche prise ! T’es angoissée ? Lâche prise ! Oui bon moi je veux bien mais purée-de-pomme-de terre elle est où cette prise ? J’en avais tellement marre de cette chasse à la prise, le St Graal du développement personnel, que j’avais décidé d’arrêter. Stop. Basta. Laissez moi tranquille avec votre histoire de prise, je préfère continuer à vivre mes moments difficiles tant bien que mal et on se revoit à la prochaine éclaircie.

Mais voilà les « choses » sont quand même bien ficelées et c’est au moment où tu lâches l’affaire que tout s’aligne. C’est un peu comme quand t’es célibataire et que tu désespères de rencontrer quelqu’un-e et que justement le jour où ce quelqu’un-e débarque dans ta vie tu deviens irrésistible . C’est normal oui je sais, tu rayonnes d’amour donc forcément tu attires les autres. Et bien avec cette fameuse prise c’est pareil, t’as plus l’air d’être au bord du suicide donc tu deviens un aimant à good vibes. C’est pas nouveau, ça s’appelle la loi de l’attraction, tu récoltes ce que tu sèmes et qu’on le veuille ou non, qu’on y croit ou non, ça fonctionne.

L’an dernier à cette époque et jusqu’à la période des fêtes, j’étais dans une phase vraiment compliquée. Je me sentais enlisée, empêtrée dans un bourbier dont je n’arrivais pas à sortir. Les Vies avaient des difficultés à l’école. L’ambiance à la maison était explosive. Je devais rendre un écrit pour valider mon DU (oui j’ai passé un diplôme universitaire l’an passé, comme quoi tout arrive !) mais rien ne sortait et pour preuve je n’ai posté aucun billet ici entre aout et fin décembre 2020, ni rien noté dans mes nombreux blocs notes et autres journaux intimes. J’avais l’impression d’avoir épuisé toutes mes cartouches et je désespérais. Je me suis alors mise en mode « Autruche » (à ce propos je suis allée vérifier cette histoire de tête dans le sable et j’ai découvert que les autruches n’adoptent pas ce comportement par peur mais pour surveiller leurs nids ou se protéger de la poussière. Si elles sont effrayées, elles courent et s’il le faut elles peuvent dégommer une lionne avec leurs grosses griffes. Du coup je les trouve hyper badass les autruches et comme quoi on vit avec des idées complètement fausses c’est dingue).

De temps en temps je sortais mon bec du sable et pour m’aider à y voir plus clair, je tirais régulièrement mes petites cartes oracles et de tarot. J’ai une âme de cartomancienne, je dirais même de sorcière, et c’est un art qui me parle tout particulièrement. Mais n’est pas Madame Irma qui veut et je trouve difficile de rester objective lorsqu’il s’agit de soi-même . J’ai donc fait appel à Jill, tarologue de talent dont je suis le travail depuis un moment, pour m’accompagner lors de cette mauvaise passe. Et tu parles qu’elle était mauvaise la passe ! Dans mon tirage presque toutes les cartes étaient à l’envers. C’était moche à tel point que Jill, perplexe et presque aussi dépitée que moi, a proposé de m’offrir un second tirage dit « de coaching » pour m’aider à renverser la tendance.

Je pense que si elle m’avait suggéré un rituel satanique ou un sacrifice vaudou j’aurais accepté sans ciller. Heureusement pour moi, elle est également nonne bouddhiste et sa bienveillance m’a beaucoup touchée. Nous avons donc effectué ce second tirage et je suis repartie avec ma petite liste de conseils sous le bras, bien décidée à les mettre en pratique. Résultat ? Et bien encore une fois qu’on le veuille ou non, qu’on y croit ou non, ça a fonctionné. Je me suis mise le coup de booste nécessaire et je suis fière de vous dire qu’aujourd’hui ça va beaucoup mieux. Jill a partagé ce chouette travail sur sa chaîne YouTube parce que je visiblement je suis un cas désespéré d’école et que ça peut être inspirant pour celles et ceux qui cherchent des réponses (et par la même occasion vous pourrez y trouver les liens pour la suivre, n’hésitez pas elle est géniale !).

Vous dire que tout est résolu et que les travaux sont terminés serait un mensonge. Si on vous promet de résoudre vos problèmes et de vous rendre heureux pour toujours en deux tirages de cartes, fuyez ! Non tout n’est pas parfait. Mais c’est OK. Oui je ne gère pas toujours très bien. Mais c’est OK aussi. Et cette prise alors ? J’ai jeté le petit mot trouvé au fond du tiroir, j’ai bricolé l’électricité avec du scotch et de la ficelle et pour l’instant la lumière fonctionne et illumine ma vie. Si d’aventure une ampoule devait claquer j’irai chercher ma boite à outils et Mac Gyver et on bidouillera un truc ensemble (et je réaliserai un fantasme de jeunesse par la même occasion).

J’ai encore tellement à dire sur cette 43ème année. J’ai été accompagnée par une coach formidable pour un bilan de compétences, j’ai un projet professionnel génial, Vie N°1 sort de sa chrysalide et laisse percevoir les ailes du plus beau des papillons et Vie N°2 m’apprend plus que jamais à devenir une maman qui déchire. Promis je vous raconterai tout et pour vous tenir en haleine je peux déjà vous dire que mon prochain billet parlera d’un coming-out, du pouvoir de la pensée et d’une corrézienne qui envoie du lourd . Pas mal hein comme teaser !

Aller pour terminer par les traditionnels remerciements ça va être très simple : MERCI LA VIE ! Y a rien d’autre à dire quand tu te retournes et que tu fais le bilan. Merci à cette putain de vie de m’envoyer de la merde et de m’apprendre à la transformer en or. Voilà c’est aussi simple que ça :

Défi 30 jours : pause

Les jours gris me rattrapent. J’ai cru pouvoir résister à coups de pensées positives et de méditation. Mais rien n’y fait ils sont plus forts que moi, surtout quand ils sont accompagnés de douleurs physiques. J’ai l’impression qu’ils se manifestent dans mon corps pour mieux faire céder mon esprit. Saletés. Je n’abandonne pas. Je remets à un tout petit peu plus tard. Je reviens vite. Prenez soin de vous.

Défi 30 jours : Méditer #7

Quel drame ! Je n’ai pas eu le temps hier de m’ouvrir au bonheur. Enfin si. Mais pas avec Christophe André comme je l’avais prévu. J’ai eu une magnifique journée parce que j’étais avec mes filles, en famille, pour célébrer les mamans, sous le soleil et un verre de rosé à la main en mangeant un délicieux gâteau à la framboise. Ça ressemble au bonheur non ?

Quand je dis que je n’ai pas eu le temps ce n’est pas tout à fait vrai. Disons que je n’ai plutôt pas pris le temps de m’isoler 20 minutes pour méditer. C’est que j’ai un quotidien bien particulier, avec la présence quasi permanente de mes accompagnantes. Et c’est parfois compliqué de trouver un moment pour soi quand il faut se préparer , donner les « directives » et penser à ne rien oublier.

C’est pour cette raison qu’hier je n’ai pas posté mon défi #7 et qu’il y en aura deux aujourd’hui.

C’est très tôt ce matin que j’ai lancé l’application et que j’ai laissé Christophe me guider vers le bonheur. Je n’ai pas encore atteint le nirvâna mais c’est plus simple de me « mettre dedans ». J’ai terminé le cycle de méditations courtes. J’attaque tout à l’heure les plus longues.

En attendant je vous souhaite une belle journée. Prenez soin de vous 💜🙏

Défi 30 jours : Méditer #6

Un peu plus en forme aujourd’hui. Endormie à 00:30 après avoir regardé la finale de Kho Lanta. D’ailleurs petite parenthèse : c’était quoi cette arnaque ? Pas d’émission en directe pour les voir se faire des courbettes hypocrites, c’est même pas drôle. Et ce matin les yeux ouverts à 7:00 par Vie N°1 qui trouve normale de me réveiller puisqu’elle n’a plus sommeil.  Quand je lui ai fait remarqué que c’était un peu égoïste quand même, que j’aurais aimé dormir une heure de plus, elle m’a rétorqué qu’il faut assumer son rôle de maman. Les enfants sont formidables non ?  Attends ma jolie quand tu voudras faire la grasse matinée, maman saura assumer son rôle et te lever à 7:00, ne t’inquiètes pas.

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Pour le coup j’étais prête plus tôt que prévu et j’ai profité de leur escapade au magasin « de la fête des mères mais chut c’est un secret » pour écouter mon petit cours du jour qui s’intitule « apprivoiser la douleur ». Christophe André me propose cette fois d’observer avec bienveillance mes douleurs, physiques ou psychologiques, et comme toujours de ne pas les juger. Dans l’émission « Enquête de santé » consacrée à la méditation et dont je vous ai déjà parlé cette semaine, une femme expliquait comment se mettre en état de pleine conscience l’a aidé à supporter les premiers moments après avoir été brulée au 3ème degré sur une grande partie de son corps. Alors que les secours s’affairaient autour d’elle, elle s’est concentrée sur sa respiration et affirme que ça l’a soulagée et qu’aujourd’hui encore elle médite pour mieux vivre ce traumatisme. Une sacrée leçon !

Je me suis donc installée sur ma terrasse, profitant du soleil et d’une légère brise, des odeurs d’herbe fraichement coupée, de ciboulette et de menthe poivrée plein les narines. Tout était réuni pour une belle séance. Et ce fut le cas. Peut-être la meilleure de la semaine. Un 6ème jour concluant et motivant.

Comme je suis curieuse j’ai regardé quel sera le thème de demain. Wahou il me tarde d’y être car c’est « s’ouvrir au bonheur ». Un dimanche de fête des mères cela ne s’invente pas !

Défi 30 jours : Méditer #5

Constat du jour : il faut être en forme pour méditer ! C’est une activité qui demande de  l’attention et une totale disponibilité, deux choses dont j’ai totalement manqué aujourd’hui. Christophe André me proposait « une pause en pleine conscience » et j’ai vraiment essayé de la prendre, cette pause. Mais rien à faire. Je pense que méditer s’inscrit dans une hygiène de vie plus globale que je n’ai pas pour l’instant, notamment en ce qui concerne le sommeil. La prise de conscience continue et c’est vraiment motivant. Je vais donc aller m’allonger et tenter de passer une nuit digne de ce nom. Demain est un autre jour. Je vous souhaite une belle soirée. Prenez soin de vous.

Défi 30 jours : Méditer #4

Il est 23:03 et je viens seulement de trouver quelques minutes pour méditer. Je vous avoue que si je ne m’étais pas lancé ce défi la lumière serait déjà éteinte et j’essaierais de calmer mes pensées pour trouver le sommeil. Tiens justement ce quatrième jour Christophe André me propose d’ « Observer ses pensées ». Voilà qui tombe à pic !

Il faut dire qu’il y a un sacré boulot pour mettre mon esprit en veille, d’autant que la journée a été riche en échanges. En effet j’ai passé la journée en conseil de région pour l’association APF France handicap au sein de laquelle je suis une élue départementale et régionale. Nous nous sommes retrouvés pour débattre des prochaines actions à mettre en place et de la politique à adopter. J’aime ces discussions et les projets qui en découlent, c’est stimulant et extrêmement intéressant.

Et pour ne rien gâcher cette réunion a eu lieu à Saint Laurent en Granvaux dans le Jura, à la Ferme Léonie.

Et c’est quoi cette ferme ? Et bien c’est une jolie histoire : en 1981 la délégation APF du jura lance un appel dans « la voix du Jura » afin de trouver un lieu de vacances pour les personnes en situation de handicap et ses adhérents. Dans la semaine qui suit, Léonie Vuillet prend contact avec la délégation et annonce qu’elle est prête à léguer sa ferme à l’association après son décès. En 1993, deux ans après son décès, la délégation entreprend des travaux et conformément à son vœu, la Ferme de Léonie deviendra un lieu d’accueil, de loisirs et de vacances.

J’aime beaucoup cet endroit. C’est calme et apaisant. Et même si c’est à deux heures de route de chez moi ça me fait toujours plaisir d’y aller.

Mais revenons-en à notre sujet. Ces quelques minutes à observer mes pensées sans les juger ont été assez simples. Je pensais avoir du mal mais je suis facilement entrer dedans. Je crois que je commence à saisir le principe. Et à l’apprécier.

Voilà il est enfin l’heure de fermer les yeux, le marchand de sable est passé. Je vous souhaite une belle nuit. Prenez soin de vous.

Défi 30 jours : Méditer #3

Je vous écris aujourd’hui depuis la salle d’attente de notre orthopédiste à Besançon. Vie N1, en plus d’avoir le nez cassé, est suivie depuis plusieurs mois pour des problèmes de dos. Elle est grande. Très grande pour son âge. Et sa colonne vertébrale fait les frais de cette croissance accélérée. Nous venons donc vérifier que le corset qu’elle porte chaque nuit suffit à corriger sa cyphose ou s’il faudra également qu’elle le porte le jour. Verdict dans quelques minutes …

Je profite donc de ce temps « perdu » pour rédiger mon billet quotidien et vous faire mon petit résumé méditatif. Et figurez-vous qu’aujourd’hui le défi est relevé. Une pause de 20 minutes  avec pour thème « Accueillir les sons ». Et des sons il n’en manque pas chez moi. Entre les ronflements incessants de mon Carlin, les voitures qui passent en contrebas et la volaille du voisin qui piaille en continu, j’avais de quoi m’exercer. C’est très intéressant comme exercice, écouter sans juger, sans mettre une pensée sur chaque petit bruit et réussir à les laisser être sans qu’ils ne vous gênent. Et je ne me suis même pas endormie alors que j’ai passé une nuit chaotique.

Voilà qui me laisse beaucoup d’espoir pour la suite de ces 30 jours. Je vais continuer d’attendre notre tour en tentant une petite méditation tiens … Belle soirée et prenez soin de vous 😊

Défi 30 jours : Méditer #2

Je dois l’avouer ce second jour est un échec cuisant. Ce n’est pas la grande forme et à deux reprises je me suis endormie en écoutant mon nouvel ami Christophe André qui me proposait pourtant un programme sympathique « Habiter son corps ». Je n’ai rien habité du tout et j’ai sombré les deux fois en moins de deux minutes. À ma décharge j’ai dormi cette nuit avec mes deux lionnes et ce n’est pas de tout repos. N°1 s’est cassé le nez la semaine passée et a du mal à respirer, donc à s’endormir. N°2 est un pot de colle qui vous grimpe dessus toute la nuit en vous empoignant les cheveux. Je tenterai à nouveau ce soir mais je n’ai pas grand espoir vu mon état de fatigue. C’est qu’il faut être éveillée pour méditer. Voilà donc un petit billet succinct qui ne raconte pas grand chose … rendez-vous demain pour la suite de l’aventure que j’espère plus interessante. Prenez soin de vous :)

 

Défi 30 jours : Méditer

Cela fait plusieurs mois que j’aimerais commencer la méditation. J’ai acheté les bouquins, installé des applications et j’essaie tant bien que mal de prendre un peu de temps pour m’y mettre mais ce n’est pas assez régulier pour que j’y trouver un quelconque bienfait. Ça me demande une discipline que je n’arrive pas à m’imposer. Et ça m’agace …

Je vous en parle car cette semaine j’ai vu l’émission « Enquête de santé » sur France 5 consacrée à l’art de la méditation. Des propos très intéressants qui m’ont donné encore plus envie de me lancer.

Mais il me fallait une motivation supplémentaire, un booster psychologique. Et voilà que le principe du défi « Essayer quelque chose de nouveau pendant 30 jours » apparaît dans mon fil de lecture. Bingo ! Je vous laisse découvrir la petite vidéo ci-dessous qui m’a décidée à tenter le coup …

Les 30 prochains jours seront donc ponctués d’une séance de méditation. Et pour tenir mon engagement je posterai une photo et un petit mot quotidiennement, histoire de me sentir moins seule et de partager mon aventure avec vous. À demain pour le premier épisode !